Quito
Levé pas trop tôt, soit vers 9:00, (même
si ça fait un moment que je suis réveillé
et que je lis mon fabuleux livre "Broken Wings",
en anglais s'il vous plait !) On se prépare (douche,
début des bagages, etc.) avant d'aller déjeuner
au " Super Papa " (pour changer). Cette fois
on prend des "Americanos" plutôt que
les "Continentals" habituels. P'tain, ça
bourre
on est plein.
On retourne au marché pour acheter les derniers
souvenirs à ramener. Enfin, c'est plutôt
des cadeaux, vu que c'est pas pour nous. On trouve notre
bonheur, plus de raison de traîner, on rentre
donc à l'hôtel. C'est parti pour les préparations
de nos bagages. On a un peu de temps avant qu'Ana Maria
vienne nous chercher pour aller chez son autre tante
(qu'on n'a encore jamais vue) dans la banlieue de Quito.
Les bagages nous prennent un peu de temps, mais on arrive.
On peut même regarder le grand prix de F1 (malheureusement
pas jusqu'à la fin).
Ana Maria vient nous chercher avec
sa tante Ruth. On est à trente minutes de chez
son autre tante. On arrive après avoir changer
de route, (route en travaux, sans avertissement, ni
indication de déviation). La ville est hyper
belle. C'est d'ailleurs l'oncle (celui qu'on a déjà
rencontré chez les grands-parents) qui l'a dessinée.
C'est vraiment cool. A part ça, on est au moins
une quinzaine (famille + amis) pour un goûter
(copieux) et surtout pour la séance de diapositives
du cousin d'Ana Maria, grimpeur de l'extrême.
Il est un peu bizarre, mais c'est un tout bon en escalade.
Il a ouvert de nouvelles voies sur des montagnes au
Pérou et en Equateur notamment. Les photos sont
aussi magnifiques qu'impressionnantes. Presque aussi
impressionnantes que le sont les trois chiens dans le
jardin (hein Ian ? T'es pas d'accord ? : ) On passe
donc la fin d'après-midi (entre 16:00 et 19:00)
là-bas. C'est ensuite la séance des au-revoirs.
On doit dire au-revoir à tout le monde (oncles,
tantes, cousins, amis, grands-parents) car nous ne les
revoyons pas avant le départ. C'est très
sympa et tout le monde est vraiment charmant avec nous.
Ces au-revoirs sont plutôt des "à
la prochaine"
qui sait ?
Ana Maria et
ses grands-parents... |
Avec la famille d'Ana Maria
(grands-parents, oncles,
tantes et cousins)...
|
Ruth et Ana Maria nous ramènent
donc à l'hôtel. On leur dit au-revoir.
C'est un peu plus long et émouvant qu'avant parce
que c'est vraiment elles qui nous ont aider et "chapeauter"
pendant notre séjour. Elles l'ont très
bien fait d'ailleurs.
Plus que quelques
pages...
On se prépare, je finis mon
roman (trop cool), on mate Robocop en espagnole (super
! : ) et on se couche
après avoir vérifier
que le réveil (toujours le plus horrible du monde)
est bien régler et qu'il fonctionne. On est confiant,
il nous réveillera à l'heure (4:00 du
matin) pour qu'on puisse être à 4:42 à
l'aéroport comme demandé
la nuit
va être courte
Quito vu depuis l'avion...
|